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Il semblerait que le CDI (Contrat à Durée Indéterminée) soit la solution à tout. Le CDI c'est la solution au travail précaire, le CDI c'est la solution à l'exploitation des travailleurs, le CDI c'est la solution à son prêt bancaire. Le CDI c'est la vie ©. Et si on réfléchissait un peu ? Et si le CDI était finalement ce qui nous posait le plus de soucis ?

L'article d'aujourd'hui est un peu particulier. Il inaugure (enfin je l'espère) une série d'articles sur vos expériences de vie, sur vos aventures qui valent la peine d'être racontées et qui pourront motiver d'autres personnes.

Faire bien, faire vite, faire plus, encore plus vite. Recommencer. Faire mieux. Recommencer. S'épuiser. Ne rien avoir fait d'autre que courir après le temps.

« Sois un peu sérieux, il va falloir grandir un jour. Trouve un travail stable avec un salaire confortable pour payer ta maison. C'est une question de bon sens. » Han, que c'est fatiguant, cette notion de bon sens me rendra toujours perplexe. « Les gens » n'ont de cesse de reporter leurs peurs et leur propre insécurité sur les autres. Essayez de faire culpabiliser les autres de ne pas vivre le même calvaire qu'eux soulage temporairement ce type de personnes. Et si ces tirades devenaient plutôt « Sois un peu heureux, il va bien falloir te faire plaisir un jour, sur ton lit de mort il sera trop tard. Trouve un travail qui te plait et qui te permet de t'épanouir, le reste coulera tout seul. C'est une question de bonheur. ». Ça en jette un peu plus je trouve. Et croyez-moi, ce n'est pas qu'un doux rêve.

Temps de lecture indicatif : 6 minutes.

Je vous ai parlé il y a de ça quelques mois de « Comment sortir du lot en tant que développeur web » en vous donnant quelques pistes pour améliorer vos candidatures. Suite à ce post un de vous a eu la bonne idée de me demander ce que je pensais de sa lettre. Avec son autorisation, je vais m'en servir comme exemple concret de lettre que je préfère ne pas recevoir du tout. Dans le sens où ce sont des lettres qui desservent la candidature au lieu de la servir.

J'ai l'occasion d'enseigner en Université de temps en temps et il semblerait que depuis le temps où je l'ai quittée, rien n'a vraiment changé : une grande partie des étudiants veut être chef de projet. Allons bon ! À ce rythme là, il y aura bientôt plus de dirigeants que de personnes à diriger. Vous êtes-vous seulement posé les bonnes questions ? À commencer par : pourquoi être cadre ou accepter un poste avec « plus de responsabilités » ?

Temps de lecture indicatif : 4 minutes.

Vous la connaissez, vous l'avez déjà certainement entendue vous aussi. Cette partie de vous qui vous dit que vous feriez mieux de faire autre chose, que vous n'êtes pas à votre place. Vous ne savez pas bien pourquoi ni comment, mais vous avez besoin d'autre chose. Vous avez besoin d'un peu plus d'authenticité, vous avez besoin d'un peu plus de vous-même. Vous savez au fond de vous que ce que vous faites n'est pas la meilleure façon pour vous de contribuer au monde qui vous entoure. Ça vous procure stabilité et confort, mais trop peu de joie et de bonheur au quotidien. Vous ne vous levez pas avec enthousiasme tous les matins.

Je vous propose ici une traduction de l'article The Courage to Live Consciously de Steve Pavlina (par mes soins). J'adore cet article, c'est un des seuls que je relis régulièrement. Il est très long (c'est quasi un chapitre de livre), mais il en vaut le coup. J'ai essayé de mettre en gras les thèmes principaux pour permettre une lecture en diagonale, mais je vous conseille vraiment de prendre le temps de le lire en entier. S'il n'y en avait qu'un à lire, ça serait celui-là. Place à Steve Pavlina maintenant.

Le travail manque. Je ne pense rien vous apprendre ici. Pourquoi est-ce un problème dans notre société actuelle d'ailleurs ?

• C'est un problème financier personnel. Le travail génère du revenu pour les travailleurs. Plus de travail, plus de revenu et donc plus de subsistance.


• C'est un problème pour l'état. Moins de travailleurs = plus de chômeurs. Et si le nombre de chômeurs augmente, le montant des prestations sociales aussi.

S'autoriser à y croire, et à croire que l'on va réussir est la clé du succès. Sans toujours nous en rendre compte, nous nous limitons nous même, et nous créons des barrières artificielles à notre propre développement personnel.

J'ai l'occasion d'être confronté régulièrement à des lettres de motivation et des CV, si bien qu'à un moment, j'ai juste envie de demander : « est-ce que vous réalisez que quelqu'un va devoir les lire ? ». Je me propose ici de lister les choses qui me paraissent évidentes mais qui ne semblent pas l'être pour tout le monde. Je vous donne ensuite quelques conseils pour sortir du lot et créer les conditions de votre métier de rêve.

Qui n'a pas rêvé de travailler quatre heures par semaine tout en gagnant bien sa vie ? C'est ce que Timothy Ferriss vous propose de découvrir dans son best-seller « La Semaine de 4 heures: Travaillez moins, gagnez plus et vivez mieux ! ». Ce livre a été pour moi une révélation : il ouvre la voix à une autre façon de vivre sa vie.

Si comme moi vous passez la majeure partie de votre activité à taper sur un clavier, la vitesse de frappe (et la précision) peuvent devenir des atouts importants. Malheureusement en France personne ne nous apprend comment taper correctement. J'ai donc décidé de prendre les choses en main moi même, et je suis passé en quelques mois d'environ 25 mots par minute avec une précision de 90%, à 60 mots par minute avec une précision de 98%.

Plus j'avance dans la vie plus je réalise qu'il est important d'apprendre à se connaître. Pas seulement pour améliorer sa vie au quotidien, mais aussi pour apprendre à connaître les autres et pour comprendre nos comportements au jour le jour. En tant que développeur informatique, apprendre de nouvelles choses est ce qui me motive quotidiennement. C'est ce que je retrouve en pratiquant le développement personnel : un apprentissage quotidien et sans limites de soi-même.